Les rayures sous dopamine : l’énergie du printemps chez-soi
Il y a quelque chose dans les rayures qui refuse de rester immobile. Elles s’étendent, se répètent, battent comme un pouls dans l’espace. Entre chaque bande de couleur, il y a de la lumière, une pause—quelque chose qui respire. Peut-être est-ce pour cela qu’elles reviennent toujours au printemps, se déroulant sur les nappes, les parasols, …